Moi, l’arc-en-ciel, Peter, rêver… et les autres.

Je ne peux pas m’empêcher de songer à de nombreuses choses en ce moment.

J’ai l’esprit rempli d’idées et de pensées, d’ailleurs j’ai pleins de choses à raconter, comme ma visite de la dernière mine de France ou mon petit voyage en Sardaigne dans ma famille qui vient juste de se terminer mais je n’ai pas encore les photos alors ce sera pour plus tard.

Et étant donné que je n’arrive pas à continuer l’écriture de mon roman en ce moment – faute d’inspiration riche et pangirique (peterpanesque + magique + féerique) il faut que j’écrive autre chose.

Parce que c’est une drogue pour moi d’écrire.

Même si ce sont des pensées pas très importantes auxquelles je ne songerai peut-être bientôt plus autant.

Que ce sont des idées folles et confuses écrites à la va-vite sur le coup de l’émotion.

Que personne ne lira ou que les lecteurs éventuels ne comprendront peut-être pas.

Que… avec des tas de « que »…

J’ai envie de le faire quand même.

C’est bizarre, en fait…

J’ai l’impression que je change à toute vitesse, que je m’éloigne de plus en plus des autres, inconsciemment.

Que je suis incomprise par beaucoup.

Je ressentais déjà une certaine différence entre moi et les personnes moyennes de mon entourage quand j’étais plus jeune, au lycée…

J’ai toujours été incomprise sur certains points.

Parce que j’aime des choses que la plupart des jeunes de mon âge trouvent bizarres, voire nulles.

Parce que j’aime les choses simples et un peu décalées.

J’aime lire jusqu’à en avoir mal aux yeux et écrire jusqu’à ce que les doigts me démangent.

Penser et faire de la philo à 2 balles.

Rester seule avec moi-même et apprendre de cette solitude.

Mais aussi les longues discussions entre amis.

Rêver de mon imaginaire et le travailler, l’enrichir.

Me plonger entièrement dans des aventures captivantes à travers mes livres ou films magiques.

Admirer des auteurs que plus personne ne lit ou ne connaît.

Jouer avec de la laine pour créer des écharpes originales.

Vivre à la campagne et respirer chaque jour cette nature bénie.

Me promener dans des endroits calmes.

Me mettre en quête des quelques grains de magie restant dans ce monde.

Libérer mon stress sur une raquette de bad.

Rire de bon cœur sans raison et faire la folle avec mes amis, sans me soucier de mon âge.

Fredonner des génériques d’anime nippons et en visionner.

Regarder les nuages.

Jouer avec des chatons.

Me nourrir de sons de divers instruments et de belles voix.

Apprendre des langues étrangères et en percer les mystères.

Apprendre tout court.

Aller dans de nouveaux endroits et en apprendre sur leur richesse culturelle et historique.

Découvrir des choses avec des yeux émerveillés.

J’ai l’impression de sortir d’une autre planète en me relisant.

Néanmoins après tout, ce sont des plaisirs authentiques, sains et accessibles à chacun.

Mes trésors et clefs du bonheur.

Mais beaucoup ne comprennent pas ça du tout.

Parce que la plupart des jeunes que je côtoie et croise ne s’intéressent qu’à des choses que je trouve futiles.

Sortir en boite.

Aller à des soirées où chacun joue un jeu tout simplement pour être vu.

Suivre avec avidité Star Ac’ et compagnie.

Parler sans cesse de son chéri parce que ça fait chic.

Créer un blog faisant office d’album photo pour montrer la tête de tous ses amis juste histoire de montrer qu’on a des potes.

Lire des magazines people et bavasser stars.

Se nourrir de potins.

Etre accro de shopping et suivre la mode à l’ongle près, parler, agir selon… sans trop savoir pourquoi.

Pour être en phase avec ces gens, on est limite obligé de s’intéresser un minimum à ces choses, pour ne pas être à part et ne rien comprendre.

Même si ça n’a jamais été à ce point-là pour moi, j’avoue avoir fait certaines de ces choses lorsque j’étais plus jeune.

Bah oui, comme nous tous.

On aime tous certaines de ces choses, c’est même bien légitime !

Mais en revanche, s’y limiter…

Moi aussi j’ai regardé des trucs insipides et même débiles à la télé par exemple, parce que ce sont des divertissements populaires que la plupart des jeunes aiment et qu’à l’adolescence, on est influençable et ayant tendance trouver intérêt dans n’importe quoi de nouveau et branché.

Mais j’ai suffisamment mûri pour me rendre compte à présent que ce genre de choses mis bouts à bouts n’apporte aucune richesse.

Ne me divertit même pas.

Et je n’ai plus envie de m’y intéresser simplement pour suivre le troupeau.

Parce que j’ai envie de me dépasser, d’apprendre et de m’enrichir intérieurement.

Que l’on ne devient pas grand chose si l’on se confond, suit n’importe quoi sous prétexte que c’est à la mode, sans trop savoir pourquoi, pour qui…

Que tout en aimant les choses simples et profondes, j’aime les choses originales et magiques qui sortent du pâle monde réel.

Par cette idée anticonformisme, je n’entends pas l’excentricité vestimentaire ou quelque chose comme ça même si personnellement j’en fais parfois un petit peu l’usage, avec mes cheveux roses, mes accessoires enfantins ou mes collants flashy.

Je veux dire, dans le sens que justement, l’excentricité c’est bien l’ennui parfois puisque c’est quelque chose qu’aiment pas mal de gens superficiels car pour exister, ils veulent se faire remarquer à tout prix et bouffent même les mollets des autres pour ça.

Je parle et ris même avec ces gens, des gens que je côtoie par la fac ou autre, j’en apprécie beaucoup et certains sont plus profonds que le laisse croire leurs passions.

Parce que j’aime être de bonne humeur, souriante et gentille avec les autres et apprendre à les connaître un peu au lieu de m’arrêter aux apparences.

Parce que j’aime les gens et m’entête à vouloir vivre en harmonie avec eux, mais nos personnalités, nos passions, nos mondes, diffèrent en bien des points.

Et cela me frustre de voir que je ne peux pas communiquer avec ces autres sur les mêmes fréquences.

Pourquoi le monde devient-il à ce point superficiel ?

Les jeunes, surtout ?

Pourquoi une émission où des filles en maillot de bain doivent décider de quel garçon embrasse le mieux ou traitent leurs proches de cocus suffit-elle à divertir les gens ?

Pourquoi transpirer sur une piste où personne ne s’entend parler et où chacun se crache de la fumée au visage est-il tellement plaisant ?

Pourquoi dès que j’allume la télé à n’importe quelle heure je tombe souvent sur une scène de sexe, une émission de téléréalité un brin vulgaire et que dans tous les clips les filles sont obscènes et à moitié nues ?

Pourquoi vois-je tant de fillettes de 11 ans maquillées, habillées et flirtant comme si elles en avaient déjà 16 ?

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Pourquoi tant d’enfants ont de nos jours perdu l’esprit de Noël ?

Pourquoi beaucoup croient que l’on a passé les dernières années dans un monastère tibétain parce qu’on ne lit pas Voici ou autre truc du genre et que l’on est donc pas au courant de la super-méga-top-importante rupture de stars du moment ?

Pourquoi les gens jouent-ils un jeu et ne parviennent plus à être naturels ?

Je ne sais pas trop, en fait…

Les gens ne s’intéressent-ils plus à des plaisirs simples ?

Pourquoi personne ne réagit lorsque je parle de ce que moi, j’aime ?

Après tout, les gens trouvent sans doute mes passions à moi nulles et aussi dépourvues d’intérêt que les leurs à mes yeux.

Chacun ses goûts après tout.

Je pense juste sans prétention que les miens sont un brin plus authentiques et profonds.

Parce que ceux que je viens de citer et que je n’aime pas ; ceux que ces gens apprécient, ce sont des plaisirs souvent trop superficiels…

Par « les gens » je n’entends pas tout le monde, bien sûr…

La plupart des jeunes que je rencontre en ce moment, j’ai l’impression, mais pas tout le monde, heureusement.

Et sinon, il y en a d’autres de pires, ceux qui croient tout savoir, se prennent au sérieux à même pas 20 ans et ne peuvent s’empêcher de me toiser ou de hausser un sourcil moqueur lorsque j’évoque ou montre mon côté féerique et enfantin.

Parce que, oui, je vais avoir 20 ans, et alors ?

N’ai-je pas le droit de garder mes yeux émerveillés d’enfant avec un regard étoilé, frais et étonné sur chaque nouvelle chose ?

N’ai-je pas le droit de continuer à rêver, à lire des contes de fées, à aimer les magasins de jouets et les manèges, des choses un peu folles et décalées et les éclats de rire durant lesquels chaque être n’a plus d’âge ?

Comme je l’ai déjà dit, rien de tout ça n’est une sorte de fuite ou d’échappatoire, c’est simplement ma vision du monde.

Ce n’est pas non plus un refus buté de grandir, c’est beaucoup plus complexe que ça.

Mon âge me fera devenir adulte mais jamais JAMAIS je ne serai une « grande personne », là est toute la nuance !

Garder une part d’innocence, de rêve et de magie en soi me paraît trop important pour oublier les limbes de l’enfance, ce côté pur et authentique.

Savoir s’amuser, rire et rêver comme lorsqu’on était pas plus haut que ça (c’est toujours mon cas physiquement lol) et ne pas se restreindre à trop s’assagir à cause de l’âge est une nécessité pour moi.

Je suis quelqu’un de responsable et de sérieux quand il le faut ; je fais des études, je suis cultivée sur pas mal de sujets, j’aime beaucoup la culture classique comme je l’ai déjà dit et pas mal de problèmes de la société actuelle me touchent.

Mais la plupart des gens ne peuvent pas comprendre ça : que l’on peut mener une conversation historique sérieuse ET aimer Disney et les contes de fées par exemple (ce que je préfère largement aux journaux politiques, même si je me tiens informée de l’actualité).

Cet amour de l’enfance et de la magie fait-il de moi une personne moins digne d’intérêt que les autres ou quelqu’un de stupide ?

Non. Mais ces gens trop sérieux et prétentieux ne peuvent pas comprendre et sont intolérantes face à cela, sans doute devenus étroites d’esprit à force de rester clouées au sol.

Je tiens probablement mon esprit « femme-enfant » comme on dit, de mes parents qui sont restés d’éternels adolescents et ne se gênent pas pour délirer quand ça leur prend, mais même eux ne me comprennent pas toujours très bien.

C’est sans doute pour ça que j’ai embrassé une branche littéraire où je peux un peu me lâcher et choisi une carrière où je serai au contact d’enfants ou de jeunes adolescents, et parallèlement, cultiver mon rêve de vivre de ma plume un jour.

Donc voilà.

Je refuse de devenir une personne plate et superficielle avec des passions que je trouve creuses ou bien une petite bonne femme pétant plus haut que son popotin qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez trop sérieux.

Le pire c’est quand les deux se confondent : des individus futiles qui pourtant se prennent super au sérieux. Berk.

Je suis une grande rêveuse, curieuse, passionnée qui aime autant les choses intelligentes que magiques, voit la vie en couleurs est en est fière ! Na !

Et tant pis pour ceux qui ne me comprennent pas, ils ne savent pas à côté de quoi ils passent, cette magie qu’ils ont décidé de dédaigner.

Heureusement qu’il existe encore énormément de personnes de mon âge avec lesquels je me comprends bien, qui savent apprécier ce que j’apprécie, ont un regard semblable au mien et ne trouvent pas vraiment d’intérêt non plus dans ces choses frivoles envahissant le quotidien des jeunes.

J’aime mes amis, ces personnes que je chéris et auprès desquelles j’ai appris énormément de choses.

Même si je suis un individu solitaire qui apprécie la vraie solitude.

Même si j’aime me mettre un peu en retrait du monde.

Observer ce qui se trouve autour de moi et étudier le monde à travers moi et moi à travers lui.

Passer du temps avec moi-même et réfléchir sur certaines choses.

Rêver en regardant le ciel à travers la vitre d’un train.

Ecrire des choses que je n’aime en général partager qu’avec moi-même en compagnie de personnages de mon imaginaire qui me sont aussi chers que ceux du monde réel.

Être dans la lune.

Aller me promener seule en nourrissant mon imagination tout en pensant à mes projets du lendemain.

Oui, même si j’aime la solitude car elle permet de réfléchir sur soi-même et d’apprendre beaucoup d’elle, j’aime profondément mes proches sans qui ma vie ne serait pas la même.

Certains sont des sortes d’homologues.

D’autres des modèles sur certains points.

D’autres encore des anges gardiens.

D’autres des jumeaux et jumelles de bêtises, faisant les 400 cents coups ensemble et n’ayant pas honte de rire bien fort devant tout le monde.

Ou d’autres de simples amis proches de moi qui m’apportent énormément sur beaucoup de plans.

Avec lesquelles je peux parler, partager, rire, être, en toute sincérité.

Ces personnes simples, passionnées et chaleureuses qui ont le don de créer de la magie lorsqu’ils parlent et agissent.

Et heureusement que je les ai, d’ailleurs, même si je ne peux pas voir certaines aussi souvent que je le voudrais.

Il y en a pas mal, en fait, beaucoup même, mais il faut savoir les trouver.

Au milieu de toute cette futilité ou de ce sérieux hypocrite.

Car même si le monde n’est pas rempli d’être superficiels ou intolérants, ceux-là bouffent tellement les autres que c’est comme s’ils étaient partout.

C’est sans doute la raison pour laquelle j’aime tant l’imaginaire et le monde se rapportant à l’enfance, à la fraîcheur, à l’innocence, au rêve, à la magie et à la simplicité.

Là où l’on n’a pas besoin de faire des trucs complètement stupides et insensés pour se sentir vivant ou aimé.

Ou de prendre la vie trop au sérieux pour se sentir puissant et respecté.

C’est sans doute pour cela aussi que malgré ma bonne humeur et mes sourires, je ne peux m’empêcher de me sentir un peu mal à l’aise lorsque je me trouve dans un endroit où je me sens enfermée avec ces gens qui ne me ressemblent pas du tout, à mille lieux de moi mentalement.

Et que malgré mon caractère heureux et souriant, je reste discrète me concernant, à part avec mes amis.

Parce que c’est volontaire.

Que je n’aime pas partager mon jardin secret avec tout le monde et que seuls quelques privilégiés peuvent en découvrir des recoins.

Et que cela évite d’être déçu lorsqu’on sait que de toute façon ce que l’on aime n’intéresse pas ces autres.

Je n’ai pas envie que l’on voit ce que je dis ici comme une leçon de vie à 3 sous.

Et il n’y a aucune méchanceté dans mes propos.

Je ne juge pas les gens, j’ai simplement besoin d’exprimer cette sensation de fossé qui se creuse entre moi et tant de personnes que je connais.

A travers des mots un peu confus et emmêlés qui me sortent ainsi en cette heure tardive.

Je suis heureuse de me sentir un peu différente à ma façon.

Cette différence, je l’ai ressentie des millions de fois, toujours avec une certaine satisfaction car je suis contente de savoir que je suis capable de voir ce que ces autres ne voient pas.

Mais parfois, cela m’attriste pour la simple raison que lorsque l’on aime quelque chose, on aime le partager.

Or, comment pourrais-je partager mon univers et mes petites passions avec des gens qui ne les comprennent absolument pas au mieux, ou les méprisent au pire ?

J’ai envie que tout disparaisse l’espace d’un instant.

J’ai envie de courir pieds nus dans l’herbe les yeux fermés.

Jusqu’à ce que je m’y laisse tomber, complètement essoufflée.

Laissant la nature, le soleil et le vent nourrir mon imagination et me redonner des forces.

Et ainsi, inventer des histoires magiques que plus tard je pourrais conter à ceux que cela intéressera.

J’ignore si toutes ces lignes que je viens d’écrire ont un réel sens pour quelqu’un.

C’est un méli-mélo improvisé de mon humeur du moment et j’ai du mal à y voir clair moi-même.

Mais peu importe.

J’avais besoin d’écrire tout cela et cela m’a fait du bien.

Parce que j’ai aussi besoin de me sentir comprise.

Et savoir que certains se reconnaissent un peu en quelques unes de ces phrases confuses exprimées par le petit personnage étrange, rêveur et panesque que je suis…

Finalement, je me suis assez mise à nu dans ce message… cela m’étonne moi-même.

Et merci aux courageux qui ont lu tout ce pavé et de passer dans mon p’tit monde dans lequel vous serez toujours les bienvenus.

Bisous magiques.

Comments

[Herm]

Tu as parfaitement raison d'être fière de ton caractère d'éternelle rêveuse. Les gens comme toi deviennent assez rares...je suis heureuse d'avoir rencontré/lu une personne de plus dans ce cas : toi.
Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup de gens capables de réellement comprendre ce que tu as écrit. Je comprends parce que ces magnifiques lignes de tes pensées, je le sais, reflètent une importante partie de moi-même. Celle qui, comme toi, rêve, désire être seule, invente des histoires et des personnages aussi réels à mon esprit que ceux que je côtoie chaque jour. Celle qui se trouve être différente des autres gens, qui ne comprend pas toujours la fissure entre soi et l'autre. Terrible jeu des apparences...Parfois on voudrait montrer qui l'ont est vraiment, mais c'est souvent impossible. Pour moi il n'y a que l'écriture qui peut l'exprimer, or pour le faire comprendre aux gens il faudrait parler...
Je me demande encore pourquoi il y a cette différence, que ce soit quand je vois un adulte ou un adolescent de mon âge (voir plus âgé). Je me demande comment il se fait qu'une telle différence ait pu naître. Qu'est-ce qui l'a créée, forgée...
Parfois ce sont des évènements de la vie ou du destin, parfois des actes personnels. Et ce sont ces choses-là qui forment un jardin personnel. Alors peut-être que ces gens qui nous paraissent idiots ou éloignés de nous, ils l'ont simplement oublié. Peut-être l'ont-ils perdu, peut-être l'ont-ils encore mais ils font semblant d'être "normaux". Peut-être parfois, un souvenir fugace les fait retourner dans ce jardin, contempler avec nostalgie ses différentes saisons puis s'en détourner.
Peut-être tout simplement est-ce quelque chose impossible à dire à nos proches. Je peux compter sur les doigts d'une main les gens que je connais qui ont un tel jardin personnel, qui sont considérées comme étranges à cause de cela. Aucune de ces personnes n'est quelqu'un que j'ai réellement rencontré. Ce sont des amies du Net et pourtant je les aime tout autant que mes proches, parce qu'elles m'ont montré qui j'étais et ma vie n'aurait pas été la même sans elles.

Aussi, même si je ne te connais pas, je suis heureuse que tu te sois ajoutée à ces personnes rêveuses dont le monde a tellement besoin malgré tout. Merci. Continue de croire et de rêver en ton jardin personnel. Parce qu'il est magique, et pour toutes les raisons pour lesquelles tu l'aimes autant.

[Richard]

Quand j’ai vu la longueur de l’article j’me suis dit merde j’pas pour lire tout cela, mais mon coté enfantin malgré mon age avancé c’est laisser prendre
Me voila conquis des les première lignes un texte exquis un petit conte de noël d’une petite fille qui aime l’imaginaire qui nous projette un sens inversé des idées préconçus qu’on a de la jeunesse. Elle rêve et nous fais rêver, raconte et nous accroche, les lignes se suive et on ne voudrais pas y voir la fin. C’est très beau elle raconte et colore son textes du plaisir et de comparaisons avec une sagesse exquise. J’aime tes écrits, garde toujours ton cœur d’enfant et n’ai crainte de l’ouvrir a nouveau

Bonne période des fêtes petites

[valmandy]

eh eh... quel plaisir de voir ton petit message... Merci !
Je te souhaite de très belles fêtes de fin d'année et te dis à tout bientôt.
biz